Covoiturage

Des aires de covoiturage sur le territoire

Le covoiturage consiste en l’utilisation commune d’un véhicule, par un conducteur non professionnel avec un ou plusieurs passager(s) pour effectuer tout ou partie d’un trajet. En France, la part du covoiturage quotidien est estimée à 3%.

Pour l’usager, le covoiturage permet de :

• Faire des économies : en pratiquant le co-voiturage, on diminue l’utilisation de son véhicule et les frais de carburant et d’entretien. Le conducteur peut par ailleurs financer une partie des frais de carburant et d’entretien de son véhicule par le covoiturage.
• Participer à l’amélioration de la qualité de l’air : partager un véhicule permet de diviser par deux les émissions de CO² de son trajet (la voiture individuelle représente à elle seule plus de 15% des émissions de gaz à effet de serre en France).
• Créer une offre de mobilité partagée solidaire : là où il n’y a pas de transports en commun, le covoiturage permet l’accès à un transport pour ceux qui n’ont pas de voiture ou qui ne peuvent pas conduire.

Afin de développer ce mode de transport, une aire de covoiturage va être aménagée sur la quasi-totalité des communes de la communauté de communes. La taille des aires diffère en fonction des besoins (aires pouvant aller de 2 à 10 places sur le territoire). Ces aires sont implantées dans le cadre d’un vaste plan visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre dues à l’utilisation des voitures individuelles en luttant contre l’autosolisme. Elles seront évolutives dans les années à venir et la communauté de communes développera du service en fonction des usages et des besoins qui seront identifiés.

La communauté de communes a travaillé sur ce dossier en étroite collaboration avec les communes, la Région Occitanie et le Département du Gard pour construire ces aires.

Une subvention de l’État d’un montant de 20 811 € a été attribuée à la collectivité au titre de l’exercice 2023 du Fonds d’accélération de la transition écologique dans les territoires (coût total du projet : 34 685 € dont 60% de subvention de l’Etat)